HISTOIRES DE : POURQUOI DIT-ON "MUSIQUES NOIRES"
HISTOIRES DE : POURQUOI DIT-ON "MUSIQUES NOIRES"

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mercredi 21 juin 2017
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HISTOIRES #9

Pour clôturer la saison d'Histoires de, on a choisi aujourd’hui de revenir sur l'utilisation d'un terme simple mais complexe, celui de "musiques noires". Vous le savez depuis la rentrée, Histoires de explore plusieurs styles de musique. On a parlé de la P-Funk et de la techno de Détroit, on a aussi évoqué la musique créole d'Eugène Mona ou encore de la funk nigériane de William Onyeabor. Tous ces styles ont pour point commun d'être mis dans la catégorie des "musiques noires". Mais pourquoi les appeler musiques noires alors qu'on ne désigne pas par opposition les musiques blanches ? Désigner une musique par une couleur de peau est étrange quand on y pense, je vous propose donc une réflexion autour de ce terme.  

Ecrivain, auteur, compositeur, Gil Scott Heron est plus qu'un artiste de jazz. Adepte du spoken word, il va défendre dans ses textes le tableau social des Afro-américains des années 60/70. Il reste l'un des artistes les plus importants de l'histoire de la "musique noire". 

PLAYLIST 

Alan Lomax collection - Rosie 

The Last Poets - New York, New York

Marvin Gaye - I Heard it Trough The Grapevine

James Brown - Say It Loud, I'm Black & I'm Proud

Max Cilla - Crépuscule Tropical 

Gil Scott Heron - The Bottle

Kery James - Musique nègre 

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