Rediffusion du 3 juin 2012
Recette de l’île flottante
Pour 4 personnes :
– 60 cl de lait
– 60 g de sucre en poudre
– 1 gousse de vanille
– 5 œufs
– 1 pincée de sel de mer
– du sucre et des amandes effilées
Casser le œufs en séparant les blancs des jaunes. Monter les blancs en neige en y ajoutant une pincée de sel . Ajouter petit à petit le sucre glace.Verser le mélange dans un moule. Cuire au bain-marie dans un four à 210°C pendant ce temps, lancez-vous dans la crème anglaise .
Après cuisson, mettez l’île à flotter sur la mer de crème anglaise et réserver au frais.
Déguster les yeux rivés sur l’horizon.
Qu’emporteriez-vous sur une île ? quand certain répondent « un bateau » pour faire les malins, d’autres comme Chloé Sanchez s’emparent de leur micro.
1/ A Gosier, en Guadeloupe Chloé Sanchez a enregistré une belle rencontre avec Monsieur Raymond. Le premier pêcheur a avoir amené les gens à la rame sur l’îlet. Nous sommes en Guadeloupe à Gosier…
Je suis une île : Réalisation : Chloé Sanchez / Mixage : Anne-Laure Lejosne
Musique : Lucas Pizzini / Voix : Chloé Sanchez & Henri Landré
Produit par JetFM (Nantes)
2/ En vacances à l’Ile d’Yeu, en Vendée, Cédric et sa chère ont découvert la poésie des noms de l’île. Alexandra est rentrée au Québec, Cédric se souvient…
Ile coquine La carte postale du tendre (2’48’’) réalisé par Cédric Chabuel a été produit par Arte Radio (mixage Christophe Rault)
Feuilleton Radiophonique coproduit et diffusé sur Radio Canut par les émissions Mégacombi (le lundi à 22h) et Pentes Dimanche (le dimanche à 17h). On écoute le 2ème épisode de l’ile aux flaquettes où Yves et Linda découvrent que l’île est joueuse…
La suite sur : http://audioblog.arteradio.com/LileDesFlaquettes
4/ L’isolement,non plus physique mais psychologique avec Louise de Théo Boulenger
Voici ce qu’il écrit : « Louise un montage que j’ai fait il y a 4 ans déjà… a partir d’un vielle enregistrement que ma mère à fait dans une maison de retraite il y a 20 ans déjà…Louise une vielle femme qui vit dans une maison de retraite et qui pleure de ne pas voir sa fille. La solitude et l’incompréhension l’envahissent. »
« je suis pas contente ici, car je sais que je suis ici pour mourir », témoignage d’une prise de conscience, la maison de retraite comme lieu d’isolement. Et lorsque le corps ne peut pas s’évader, c’est l’esprit qui divague.