PRINCE OF DENMARK • 8
Les émotions les plus douloureuses sont la plus grande source de violence. Pas la violence de la rébellion, comme nous l’avons explorée dans American Idiot de Green Day. Mais de celle que l’on contient à l’intérieur de soi, au point d’en souffrir. Celle qui nous ravage. Celle qui traverse Meteora, de Linkin Park.
Alors que les deux premiers épisodes de ces Chroniques étaient dédiés à deux disques racontant chacun une histoire, Meteora, et les prochains disques que nous aborderons, ne met pas en place de personnage ou d'univers qui lui est propre. Son interprétation se fait donc au premier degré.
Et si la plupart des morceaux qui le composent sont teintés de peine, c'est toute la rage qui se dégage de leur interprétation par Chester Bennington qui leur confère une énergie sans pareil.
Cet épisode ne peut qu'être tout modestement dédié à la mémoire du chanteur de Linkin Park, décédé le 20 juillet dernier. Jamais nous ne l'oublierons.
(Photo Nolwen Duchateau)
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Chronique d'une nostalgie adolescente
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